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ENSA de Bretagne @ensa_bretagne

Domaine d’étude de master Instrumenter
Semestre 8

Coord. Eglantine Bigot-Doll
Laboratoire MAP-Aria /associée GRIEF eglantine.bigot-doll@rennes.archi.fr
@eglantine_bdoll



PAGES

PRESENTATIONJOURNAL

JEAN BOSSARD & MARIE BRIN
LAURA BOUGEARD & TUGDUAL VINET
AUDEN DELEUZE & CHRISTOPHE DUMOULIN
LEANDRE GUEGUEN & AXEL TASTARD
SCHEUNG-HENN JAUNG
HELOÏSE LEGEARD & ELIOT LELIEVRE
TIM LESELLIER & PAULIN MICHEL
MAÏLE PATEA
ELINA RICHARD & LISA SIAUDEAU









LA FORÊT REMUE


SHEUNG-HENN JAUNG

Une forêt de doux prismes rectangulaires...
L’eau, en rencontrant la lumière, teinte les prismes: le bleu se mêle au rouge, le rouge se mêle au vert. Ils se répandent comme s’ils fondaient sous l’effet de l’eau. Le soleil brille à nouveau intensément, illuminant cette forêt. Peu à peu, la douceur se dissout. Celle-ci initie un mouvement graduel et délicat.


Puis, nous examinons l’École navale et le port du Poulmic, ses bateaux brise-lames qui bordent l’estran. Ces derniers interagissent avec les phénomènes liés au marnage. Ils apparaissent quotidiennement selon le cycle de la marée, la houle, les vagues et les courants marins, eux-mêmes associés à la topographie sous-marine invisible.



I
La forêt, doux prismes du phare. L’eau, en rencontrant la lumière, teinte la douceur : le bleu se mêle au rouge, le rouge au vert, le jaune au violet, le violet au vert, etc.
Ils se répandent et s’enivre des phares, comme s’ils fondaient.
La chaleur brille à nouveau intensément, illuminant la forêt. Peu à peu, la douceur s’incorpore, déstabilisée par cette ardeur. Cette-ci favorise un mouvement graduel et subtil.
Leurs fluidités s’entremêlent, amplifiant les remous réciproques et aléatoires. Ensemble, ils s’agitent parfois, semblable aux vagues de la mer, répétant sans fin la naissance, la croissance, le déclin et l’extinction.

II
Ici, maintenant, nous découvrons l’École navale et le port du Poulmic, ainsi que les bateaux de brise-lames qui coexistent avec l’estran de 100 mètres horizontaux.  Ce dernier interagit avec les phénomènes liés au marinage de 7 mètres verticaux par jour.
Ces éléments apparaissent quotidiennement selon un rythme de la marée, concerné par la houle, les vagues, les courants marins et leurs phénomènes différentes, eux-mêmes associé à la topographie sous-marine invisible. Par conséquent, on tente de disposer de nouveaux brise-lames flottants selon leurs directions et circulations.
III
On décrit la coupe de l’existant de l’École navale, le Port Poulmic, l’Anse de Poulmic et de leur environ par le centre des brise-lames.
En tenant compte de la topographie sous-marine, on dessine le plan masse afin de l’implantation de pavillons brise-lames flottants aux points du profondeur où la houle se transforme en vague.
Des pavillons s’organisent considérant la houle, de part et d’autre de la mer et de la terre, et entre la mer et la terre, autour de l’École navale. Afin de relier les trois zones, le téléphérique s’installe, tenant compte des activités.  
De plus, on prévoit 12 types de pavillons : 6 flottants côté mer et 6 fixés côté terre. Le système de flottant repose principalement avec ballast et 3 chaines d’ancrage.
Pour les usages, on envisage, d’une part part, un musée local sur la mer, d’autre, des maisons d’artistes et leurs hébergements sur la terre afin de favoriser des interactions autour d’activités.


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